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Aucune situation ne peut venir justifier des excès policiers qui demeurent inacceptables

Communiqué du mouvement des Progressiste

Le Mouvement des Progressistes s’indigne des violences commises par certains membres des forces de l’ordre à l’encontre de lycéens et de journalistes lors des manifestations des 24 et 31 mars 2016. Des violences largement diffusées par la presse et dont certaines ont donné lieu à dénonciation par le Ministre de l’Intérieur lui-même, chacun gardant en tête ce jeune d’un lycée parisien recevant un coup de poing au visage.

Les progressistes et le mdP dénoncent également les exactions commises par des bandes de casseurs venues dans les rassemblements avec la seule intention d’en découdre. Des exactions qui nuisent à l’intérêt général et aux revendications justement portées par les syndicats et les organisations de jeunesse.

Le rôle des forces de l’ordre, aussi difficile soit-il, consiste à maintenir la sécurité mais rien n’autorise un gendarme ou un policier à frapper gratuitement un adolescent, comme cela a été le cas le 24 mars à Paris, ou à matraquer un journaliste ceint de son brassard « presse » comme cela a été constaté hier à Toulouse.

Le Mouvement des Progressistes souhaite qu’il soit rappelé aux fonctionnaires de police et aux militaires de la Gendarmerie qu’en toutes circonstances ils doivent garder leur sang-froid et qu’aucune situation ne peut leur accorder le pouvoir de frapper arbitrairement un citoyen qui ne trouble pas l’ordre public.

Contact presse : Max Clanet – François Béchieau – 06 38 43 16 96

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