En disant non aux propositions de l’Union Européenne, les Grecs ont dit NON à l’austérité. Ils n’ont pas dit non à l’Europe !
Au contraire, le choix souverain du peuple grec doit désormais être entendu afin que les négociations puissent reprendre au plus vite dans le sens d’une voie politique sociale et solidaire en Europe.
Cela peut être très utile à tous les peuples d’Europe.
La France doit désormais agir pour permettre une réouverture de négociations en faveur d’une Europe sociale et plus solidaire.
Paris, le 5 juillet 2015