Article du Parisien, publié le 12 avril 2012.
L’ex-numéro un du PCF Robert Hue a appelé jeudi à Clermont-Ferrand sa « famille de pensée communiste » qui hésite encore, à voter François Hollande dès le premier tour, et à leur a demandé de « ne pas se tromper d’adversaire ».
« Je suis venu vous dire mon soutien à celui qui (…) peut donner toutes ses chances à la gauche », mon « soutien à celui qui à mes yeux est porteur du seul espoir de victoire.
« Je suis venu vous dire mon soutien à celui qui (…) peut donner toutes ses chances à la gauche », mon « soutien à celui qui à mes yeux est porteur du seul espoir de victoire.
A une condition, qu’il soit porteur des couleurs de la gauche le plus haut possible le soir du 22 avril », jour du premier tour, a-t-il lancé lors d’un meeting de François Hollande à Clermont-Ferrand.
S’adressant à « (sa) famille de pensée communiste », il a dit: « Aujourd’hui l’urgence absolue, c’est de mettre un terme au pouvoir de Nicolas Sarkozy. Et pour cela il ne faut pas se tromper de combat, il ne faut pas se tromper d’adversaire », a-t-il mis en garde, devant quelques milliers de personnes réunies place de Jaude.
Il a averti contre « le combat d’une partie de la gauche au non d’un je ne sais quel ancrage plus à gauche, au nom de je ne sais quelle vertu révolutionnaire. Tout cela aboutit toujours à remettre en selle la droite », a-t-il dit, lançant « ne laissons aucune chance à Nicolas Sarkozy d’être réélu ».
« La vraie radicalité, celle profondément ancrée à gauche, ce n’est pas celle qui se plait dans une phraséologie pseudo-révolutionnaire (…) la vraie radicalité, la radicalité constructive, c’est celle qui aura le courage d’engager des mesures sociales (…) c’est de se donner la certitude de battre Sarkozy », a-t-il ajouté.
Interrogé un peu avant par la presse sur le fait de savoir s’il était « l’arme anti-Mélenchon » ?, il a répondu: « Non, ce n’est pas en ces termes que ça se pose. Mais je pense que la radicalité voyez-vous c’est souvent une phrase un peu pseudo-révolutionnaire, mais la radicalité concrète pour les gens, c’est ce qu’ils vont avoir dans 100 jours de concret, de mise en oeuvre par François Hollande si il est président de la République ».
S’adressant à « (sa) famille de pensée communiste », il a dit: « Aujourd’hui l’urgence absolue, c’est de mettre un terme au pouvoir de Nicolas Sarkozy. Et pour cela il ne faut pas se tromper de combat, il ne faut pas se tromper d’adversaire », a-t-il mis en garde, devant quelques milliers de personnes réunies place de Jaude.
Il a averti contre « le combat d’une partie de la gauche au non d’un je ne sais quel ancrage plus à gauche, au nom de je ne sais quelle vertu révolutionnaire. Tout cela aboutit toujours à remettre en selle la droite », a-t-il dit, lançant « ne laissons aucune chance à Nicolas Sarkozy d’être réélu ».
« La vraie radicalité, celle profondément ancrée à gauche, ce n’est pas celle qui se plait dans une phraséologie pseudo-révolutionnaire (…) la vraie radicalité, la radicalité constructive, c’est celle qui aura le courage d’engager des mesures sociales (…) c’est de se donner la certitude de battre Sarkozy », a-t-il ajouté.
Interrogé un peu avant par la presse sur le fait de savoir s’il était « l’arme anti-Mélenchon » ?, il a répondu: « Non, ce n’est pas en ces termes que ça se pose. Mais je pense que la radicalité voyez-vous c’est souvent une phrase un peu pseudo-révolutionnaire, mais la radicalité concrète pour les gens, c’est ce qu’ils vont avoir dans 100 jours de concret, de mise en oeuvre par François Hollande si il est président de la République ».
