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Cécile RILHAC, députée et membre du Comité national du MdP, réagit à l’affaire BENALLA

Communiqué de presse
Paris – Jeudi 19 juillet 2018

Cécile RILHAC a appris avec stupéfaction les faits relayés par la presse concernant Monsieur Alexandre BENALLA, collaborateur chargé de mission auprès du chef de cabinet de la présidence de la République, lors de la manifestation du 1er mai dernier. Ces faits sont d’une gravité inédite pour un collaborateur de l’Elysée qui a outrepassé ses prérogatives.

Elle juge ce comportement inacceptable et indigne de la fonction qu’il occupe. Une enquête ouverte par le Parquet de Paris devra permettre à la justice de faire toute la lumière sur cette affaire.

Aussi, Cécile RILHAC estime, au regard des faits, que Monsieur BENALLA n’a plus la légitimité d’exercer sa mission auprès de la présidence de la République qui exige de ses agents un comportement exemplaire.

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Commentaires

Une réponse

  1. Ben je crois que tout le monde est d’accord la dessus… même l’Elysée puisqu’il a finalement été sanctionné de façon appropriée et une information judiciaire est ouverte, ca devient donc un fait divers.
    Je pense que la ou il y a une vrai question pour une députée qui tombe sous les responsabilités de contrôle et d’application de la loi, comme je le suggérais dans mon billet posté sur le site MdP le 14 juillet, c’est d’investiguer pour voir s’il y a un corporatisme de l’administration pour protéger ses agents ayant fait des fautes manifestes, et on peut donc ajouter maintenant aux cas du SAMU de Strasbourg et du policier au tribunal de Paris, le cas Benalla puisque la sanction initiale de mise à pied temporaire de 15 j en conservant ses fonctions avait été initialement appliquée avant que la presse mettre l’affaire sur la place publique.
    Cela ferait l’objet d’une belle commission d’enquête qui pourrait aussi toucher à la question de savoir dans quelle mesure les sanctions potentielle et la pression mise sur les lanceurs d’alerte suite à la diminution de leur protection va contribuer à faire sortir de moins en moins souvent ce genre de situation (cela ne s’applique pas au cas de l’elysée car ce sont des images sur la voie publique) .
    On voit bien que sans la presse de telles fautes seraient restée non ou sous punies.

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